
Les logements énergivores se vendent moins chers
Publié le 30/09/15 - Mis à jour le 23/02/17
L’association Dinamic (Développement de l’information notariale et de l’analyse du marché immobilier et de la conjoncture) s’est appuyée sur les bases immobilières du notariat pour évaluer l’impact de la consommation d’énergie (la « valeur verte ») des logements sur leur prix de vente. Il en ressort qu’un écart d’une lettre sur le diagnostic de performance énergétique (DPE) d’un bien peut, toutes choses égales par ailleurs, faire évoluer son prix de 5 % en moyenne. Ainsi, en province, les maisons avec une étiquette énergie A ou B (les moins énergivores) se vendent presque deux fois le prix de celles étiquetées F ou G (les plus énergivores). Cet écart est plus atténué sur les appartements et sur les marchés immobiliers particulièrement dynamiques.
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